Pour ce premier partage, j’évoquerai non pas la gestion de crise mais la nécessité de penser déjà à l’après. En effet, « diriger c’est prévoir », même si on peut regretter (encore une fois) que la gestion des risques ne soit (toujours) pas une priorité : c’est bien connu, ça n’arrive qu’aux autres et le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière franco-allemande…
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